Plan du Grand Livre d'Illustrator
Le Grand Livre d'Illustrator comprend 17 chapitres destinés à un apprentissage approfondi du logiciel. Sur ce site, une liste des ajouts, sous le nom de "Quoi de neuf", est disponible, proposant de nouveaux exercices avec les fichiers texte et images pour ce faire. Ne manquez pas, en particulier, le tutorial très complet sur la vectorisation avec Illustrator CS2 ou, bien entendu, CS3, CS4 et CS5 (11 pages de qualité édition, illustrées de 32 figures). Attention ! Le contenu qui suit est © L. Gérard Colbère, E. Elcet et éditions Dunod 2004-2010. Reproduction interdite… sauf pour apprécier et faire connaître le livre ! Pour télécharger ce document (format Word "Point Doc"), cliquez ici.
Introduction (dite aussi Chapitre 0) : Monsieur Bézier et ses successeurs. Vecteurs contre pixels. Mise en évidence de la chaîne des images pixellisées et des différences fondamentales entre les deux types fondamentaux d'images 2D, ainsi que l'évolution des images vectorielles depuis 1998 avec les dégradés en filets puis la 3D en 2003.
Chapitre 1 : Un défi à votre imagination. Illustrator et les professionnels. Démonstration des possibilités du logiciel pour les graphistes (logos, dessins simples), les dessinateurs hyperréalistes ou généralistes, les artistes numériques dont les illustrateurs BD, ou encore comme préparation de dessins retravaillés sous Photoshop voire à la main.
Chapitre 2 : Le petit monde d'Illustrator. L'interface du logiciel. Présentation de la fenêtre de l'application: barre d'outils, menus, palettes et onglets pour les versions 6, 7, 8, 9, 10 et CS (avec comparaison des possibiltés et des limites de ces versions lorsqu'on s'en sert aujourd'hui), des options de Vues, des possiblités de format d'impression, et de l'onglet Liens.
Chapitre 3 : Flèche noire, Flèche blanche. Sélections et rotations. Les premiers exercices du livre sont des translations et des rotations d'objets. Le lecteur se familiarise avec fond et contour des tracés, l'un comme l'autre pouvant être pluriels à compter d'Ai9. Les contours même basiques présentent de nombreuses possiblités (arrondi, pointe, pointillés…), tandis que des motifs enrichissent les fonds.
Chapitre 4 : Dessus-dessous. Plans, calques et repères. Le caractère 2D d'Illustrator (en dépit des Effets 3D d'AiCS) impose des contraintes qui peuvent être contournées. Le lecteur est confronté aux groupes de tracés et joue à changer de tenue la princesse Émelys, répartie sur 13 calques. La structuration des calques (à compter d'Ai9) est abordée dans un plan urbain et l'usage de ces calques fait l'objet d'un exercice.
Chapitre 5 : Des goûts et des couleurs. La couleur dans la théorie et dans la pratique. Les modes de couleur (ainsi que la conversion en gris) sont comparés pour leurs possibilités et leur limitations. Les différents types de couleurs mis en œuvre dans Illustrator sont évoqués. Le lecteur apprend à utiliser l'onglet Couleur, le Nuancier, le Sélecteur de Couleurs et les Options de Nuance, puis procède à deux colorations.
Chapitre 6 : L'art de la Plume. Création bien tempérée. Après avoir réalisé un petit picto simple exclusivement avec des Tracés de forme pré-définie, le lecteur est invité à se servir de la Plume mais uniquement pour faire des polygones, ensuite il crée des courbes de Bézier à volonté, maîtrise l'outil Miroir, puis le Crayon. Il vectorise un portrait avec l'outil de Tracé Automatique et il le met en couleur.
Chapitre 7 : Tout le monde peut peindre grâce à la vectorisation. Streamline et Silhouette. La médiocrité de l'outil de Tracé Automatique contribue beaucoup (mais injustement) au discrédit d'Illustrator par rapport à Photoshop. Aussi les logiciels de vectorisation que sont Adobe Streamline (pourtant très ancien) et le récent Free Soft Silhouette (qui se fait en 3 versions) sont-ils valorisés par 7 exercices et 3 exemples.
Chapitre 8 : Ombres et miroirs. Changements d'échelle et transformation des objets. Le rendement du créateur est grandement augmenté par les outils Modelage, Déformation, Transformation manuelle, et par la fenêtre Distorsion manuelle. Ces possibilités, toutefois, ne trouvent leur pleine signification que par une connaissance des règles de la perspective, auxquelles 4 exercices et 3 exemples sont consacrés.
Chapitre 9 : Haute couture. Les outils de découpage et le Pathfinder. Le menu Objet > Tracé > Diviser les objets inférieurs aboutit aisement à des formes complexes ou mutuellement adaptées. Le Crayon peut redéfinir le parcours d'un tracé. Le Pathfinder a évolué depuis sa migration en une palette (Ai8) puis les possibilités d'Effets à compter d'Ai10. Ceci donne lieu à la création de dessins documentaires et décoratifs.
Chapitre 10 : Le volume en plus. dégradés linéaires et radiaux. Les dégradés de couleur (linéaires et radiaux) donnent des variations de couleur parfaites sur des surfaces cylindriques ou sphériques. Il est même possible, avec de l'astuce, de les recouper pour les combiner entre eux. Le lecteur, après avoir été invité à pratiquer ses expérimentations, les met en œuvre à l'aide de deux exercices faciles.
Chapitre 11 : Bonnes feuilles. Texte, mise en page et graphiques. Dans Illustrator, le texte peut se métamorphoser en élément graphique de manière fascinante, et le lecteur est, là encore, guidé dans ses découvertes. Il apprend à remplir un tracé de texte, à poser celui-ci le long d'un chemin ou à habiller une image. Les graphes, dont la mise en œuvre n'est pas simple, peuvent s'enrichir de Symboles.
Chapitre 12 : Transitions subtiles. Dégradés de formes et dégradés en filets. Très anciens, les dégradés de formes avaient permis aux dessinateurs hyperréalistes de tirer un parti étonnant d'Illustrator, et ils autorisent des animations par morphing. Les dégradés en filets, très solides mais non découpables, les complètent et combleront les virtuoses : les exercices satisferont les débutants comme les experts.
Chapitre 13 : La belle et la bête. Masques d'écrêtage et tracés transparents. Autrefois appelés simplement "Masques", les premiers sont des sortes de fenêtres qui empêchent de voir ce qui se trouve à l'extérieur de leur tracé. Tour à tour utilitaires ou amusants, ils sont largement utilisés. Les seconds donnent le moyen de contourner certaines difficultés surgissant de l'emploi des Masques d'écrêtage.
Chapitre 14 : Vendez la peau de l'ours. Formes, motifs, "dessins à l'encre" et Symboles. Illustrator dispose de quatre types de Formes que le livre vous apprend à créer et à mettre en œuvre. Les motifs donnent des résultats surprenants entre les mains d'artistes débridés. Si les "dessins à l'encre" ont disparu d'AiCS, vous pouvez vendre la peau de l'ours sans eux. Et les Symboles sont plus utiles qu'on ne peut le penser.
Chapitre 15 : Figures de style. Filtres, Effets, transparence et Halos. Si les Filtres altèrent les points d'ancrage et tangentes ou pixels d'un objet, les Effets constituent des illusions visuelles fascinantes: ombres floues, distorsions en tous genres… voire enregistrement de combinaisons d'Effets sous forme de Styles. Les Enveloppes (à compter d'Ai10) sont elles aussi fascinantes. D'où une foule de manières de terrifier Silvia !
Chapitre 16 : Lâchez-vous. Rien ne saurait maintenant arrêter le lecteur qui se lance dans la construction des scènes les plus complexes, éléments 3D compris. Mais tous les maillons lui sont fournis sur ce site ainsi que les explications les plus détaillées dans le livre… ou ici-même ! Les plus téméraires les créeront de bout en bout, partant d'éléments photographiques bruts ou de crayonnés. Les autres prendront le train en route…
Chapitre 17 : Sortez de votre tour d'ivoire. Export, impression et internet. Le meilleur dessin ne sert à rien s'il est ruiné par des mains inexpérimentées : c'est, plus souvent qu'on ne le souhaiterait, au créatif de prendre les devants pour se prémunir de multiples avanies attendu qu'Illustrator n'est pas, contrairement au JPG, au TIFF ou au PDF, un format de destination. Voici ce qu'il faut savoir et quelques pistes…
N.B. : pour télécharger les fichiers du livre, il est indispensable d'être en possession de celui-ci.